ac : Diane Kruger Messages : 383 Date d'inscription : 03/06/2018 Surnom : La Rose d'Alcantra, L'épine d'Arcadia, Colombe, Sib... Mariage : Célibataire Age : 18 ans Métier/Titres : Lady d'Alcantra ⌂ Dame d'atour de la Reine Janna ⌂ Disciple d'Ashir Allégeance : Officiellement, à sa famille. Officieusement... elle s'aime plus que quiconque.
Sibelle Andores ⌂ entre murmures et secrets, la rose se tait ♦ écrit Lun 4 Juin - 20:24
Sibelle Andores
Noble
18 ans
Femme
Arcadia
Célibataire
Lady d'Alcantra ⌂ Dame d'atour de la Reine Janna
Elle vénère secrètement Ashir
▬ ft. Diane Kruger
Race : Humaine Allégeance : Elle-même Statut de naissance : Haute-Noblesse Surnom : "La Rose d'Alcantra", "L'épine d'Arcadia", "La fille du Griffon" ou même "Colombe", mais sa famille la surnomme "Sib"
Signe(s) distinctif(s) : Portant en elle du sang elfique, les origines de sa mère se ressentent lorsque l'on voit son visage aux traits assez fins. ⌂ Elle a également hérité des cheveux et des yeux de sa grand-mère. ⌂ Elle porte toujours un griffon en rubis au cou, et une bague en saphir étoilé noir.
Descriptif de la famille : ⌂ Sa grand-mère, Janelle ⌂ Ses parents, Mirak VII (seigneur) et Samira Andores ⌂ Ses frères et sœurs, Andrees (héritier), Symon et Amabel
⌂ Sa belle-sœur, Maella ⌂ Ses neveux, Rek, Tio et Rogenard
⌂ Sa tante, Andalie Andores
Caractère
Sibelle porte très bien ses surnoms – douce rose, mais terriblement épineuse. Elle est belle, le sait et en joue. Peu portée sur respect des conventions, elle se joue des limites et les dépasse même parfois – elle se fiche bien des obligations qui devraient être siennes, en tant que lady – ce qu’elle veut, elle, c’est le pouvoir et l’admiration. Elle joue donc beaucoup avec les limites, et les dépasse même souvent, se prêtant volontiers aux jeux de charmes et de séduction lorsqu’elle n’insulte pas ceux qui osent la sous-estimer.
Intelligente et cultivée, elle joue en permanence sur plusieurs tableaux, passant sans peine de l’innocente lady à l’impitoyable et tranchante dame de Cour. Si vous ne la rencontrez qu’une fois, à moins d’être un fin observateur, il sera compliqué d’y voir clair dans son jeu – si vous la croisez régulièrement, vous comprendrez peut-être à quel jeu elle joue.
Bien qu’elle soit du genre impitoyable et parfois tranchante – il lui arrive même d’être d’une froideur légendaire –, Sibelle peut parfois se montrer bienveillante et délicate. Si vous trouvez grâce à ses yeux, bien sûr.
Sa vie est dirigée par l’ambition et le désir d’être plus. En effet, bien que née au sein de l’une des plus puissantes maisons de Nihilium, cela ne lui suffit pas – ce qu’elle veut, ce qu’elle désire plus que tout – c’est le pouvoir. Elle est bien la fille de son père – et la petite-fille de Janelle.
Physique
La première chose que l’on remarque en regardant Sibelle, c’est sa beauté. Une beauté pure, délicate – la beauté d’une rose. Elle est réputée pour son extrême beauté.
Mesurant un mètre soixante-dix, Sibelle est assez grande pour une Humaine, tenant sans doute cela de sa mère, une semi-elfe. Fine et bien formée, elle n’hésite pas à dévoiler ses courbes délicieuses grâce à des vêtements semi transparents ou proches de corps, jouant en permanence de son charme. Ses robes souvent échancrées dévoilent la base de ses seins ronds. Son corps gracile est porté par d’interminables jambes finement musclées par l’équitation qu’elle pratique de façon assidue ; ses fesses légèrement rebondies et son ventre plat témoignent de son activité et de l’entretien qu’elle porte à son corps. Ses épaules sont fines et rondes, et Sibelle les porte toujours droites, dans une posture fière et noble, convenant à son rang.
Son visage délicatement anguleux est encadré par de longs cheveux à la couleur d’or blanc, d’un blond terriblement pâle lui conférant une grâce souvent qualifiée de divine. Les traits de son visage semblent avoir été sculptés par les dieux eux-même – son visage fin est percé de deux yeux pâles, d’un bleu de glace contrastant avec son teint légèrement doré – et ses lèvres rosées s’étirent en de bien charmants sourires, dévoilant des dents parfaitement droites et blanches.
Toujours dans des robes et parures extravagantes, la douce rose se plaisant à l’étalage de sa grandeur et de sa richesse, elle attire aisément le regard. Ses couleurs de prédilection sont le rouge, le blanc, le noir et parfois même l’or. Elle aime la dentelle et les pierres précieuses, et ne s’en cache absolument pas – ne sortant jamais sans de riches bijoux. Elle porte toujours à son cou un pendentif représentant un griffon, dont la chaîne est d’or blanc et le bijou un rubis. Elle ne se sépare également jamais de sa bague.
Léthé
19 ans
Code validé
Élisa alias Léthé, votre fondatrice adorée ! Je mords mais pas trop fort, il n'y a rien d'autre à dire
Dernière édition par Sibelle Andores le Mer 20 Juin - 1:03, édité 3 fois
Sibelle Andores
ac : Diane Kruger Messages : 383 Date d'inscription : 03/06/2018 Surnom : La Rose d'Alcantra, L'épine d'Arcadia, Colombe, Sib... Mariage : Célibataire Age : 18 ans Métier/Titres : Lady d'Alcantra ⌂ Dame d'atour de la Reine Janna ⌂ Disciple d'Ashir Allégeance : Officiellement, à sa famille. Officieusement... elle s'aime plus que quiconque.
Sibelle Andores ⌂ entre murmures et secrets, la rose se tait ♦ écrit Lun 4 Juin - 20:24
La Fille du Griffon, Fille de l'Ambition
Sibelle Andores
Une centaine de lignes je dirais... :p Léthé 04.06.18
E5 – 10, Mois 3, Semaine 3, Jour 7. La Fille du Printemps
Huit ans, et déjà tous l’aimaient – Sibelle était parfaite. Elle courait à travers les couloirs du palais, ses yeux trop clairs s’accrochant aux vitraux qui donnaient sur les jardins – elle avait toujours du mal à trouver ceux-ci, et pourtant, ils étaient l’endroit qu’elle préférait au cœur du château. Ils étaient toujours d’une beauté extraordinaire, plus encore au premier jour du Printemps. Mais la douce enfant tournait en rond, se perdant incessamment dans le dédale des couloirs, et ce n’est que lorsqu’elle se heurta à une grande personne qu’elle daigna regarder ce qui se trouvait devant elle.
Janelle, le regard attendri et le sourire maternel, posa une main sur la chevelure presque blanche de la petite, se penchant tant bien que mal vers elle.
– Qu’est-ce que tu fais, Sibelle ? – Je cherche les jardins.
De l’innocence dans le regard et une petite mine, Sibelle observa sa grand-mère, l’œil brillant d’admiration – Janelle était une femme âgée mais toujours belle, sûre d’elle et indestructible. La mère de Sibelle avait appris bien peu de choses à sa fille – mais des institutions de Samira, il restait une phrase – méfie-toi de Janelle. Janelle, le fruit défendu – la rose épineuse – les enfants courent toujours après les interdits. La vieille rose ouvrit sa main à l’enfant, qui s’en saisit doucement.
– Je vais t’y emmener.
Le sourire délicat de Janelle eut l’effet d’un baume délicat pour la petite – et elle suivit docilement la vieille femme jusqu’à la verdure des jardins d’Alcantra – et toutes deux purent s’asseoir sur un banc au milieu des rosiers, Janelle poussant un long soupir.
– Tu en as de la chance, expira-t-elle avec un sourire fatigué. Je n’ai plus la vigueur de la jeunesse.
Sibelle la regarda avec de grands yeux, innocente et encore pure. Puis la main de Janelle vint se resserrer sur la sienne tandis qu’elle plongeait ses yeux clairs dans ceux, semblables, de sa petite-fille.
– Tu me fais penser à moi quand j’avais ton âge. – Ah oui ?, demanda l’enfant avec un sourire. – Oui – moi aussi j’étais belle. Et j’étais tout aussi maline.
Elle posa un doigt sur le nez de l’enfant, qui se fendit d’un rire léger. Sibelle la regarda, avec toujours autant d’admiration dans le regard – oui, Janelle était tout ce à quoi elle voulait ressembler.
– Je veux être comme vous plus tard, lança-t-elle gaiement. – Vraiment ?, sembla s’étonner la vieille.
Sibelle hocha la tête, un sourire empreint de douceur et d’innocence accroché aux lèvres. Janelle se pencha vers elle, lui adressant un regard franc.
– Alors, si tu le veux, je peux t’apprendre.
E5 – 15, Mois 1, Semaine 1, Jour 1 La Fille du Griffon
L’oisillon, délicate colombe, avait vu ses serres pousser à la vitesse de l’éclair et ses ailes si frêles étaient déjà devenues gigantesques, son plumage se parant d’or à mesure qu’elle passait de tourterelle à griffon. L’oisillon blanc n’était plus, la pure rose qu’elle était avait achevé de s’écarter de sa mère pour marcher pleinement dans les traces de Janelle – et à l’image de sa grand-mère, elle était une beauté froides, de celles que l’on admire sans oser s’approcher.
Ce jour, son plumage était de rouge et d’onyx, les soieries délicates et la finesse de la dentelle se mêlant dans la plus belle des robes – accompagnée d’un pendentif en rubis, représentant le griffon des Andores que sa grand-mère lui avait offert, Sibelle était parfaite en entrant dans la Grand Salle. Les regards tournés vers elle, elle sut à l’instant qu’il était temps de mettre en application les enseignements de Janelle – ses yeux trop clairs se baladèrent à travers l’assistance, et elle servit un sourire froid à l’assemblée.
Les yeux qui la fixaient de toutes parts étaient à la fois curieux et admiratifs – une seule personne souriait ainsi en Arcadia ; Janelle. Et sa relève était là.
Mirak, bien qu’il soit un seigneur impitoyable, se prêtait volontiers aux grandes festivités pour fêter chaque nouvelle année en grandes pompes – mais il restait froid et fermé aux banalités, c’était pourquoi de nombreuses personnes tentaient de comprendre ce qu’il se passait dans son esprit – Sibelle, ayant suivi le même enseignement que lui avec le même mentor, le comprenait désormais – et elle l’aimait et l’admirait d’autant plus.
La fille du Griffon s’avança aussitôt vers son père, qui ne la quittait pas des yeux – les sourcils haussés, il plissa les yeux à mesure qu’elle approchait. Arrivée tout près de lui, elle s’inclina lentement dans un mouvement parfaitement exécuté – et se redressa avec tout autant de grâce, plongeant son regard dans celui du seigneur. Mirak eut alors un étrange sourire – il ne souriait jamais, habituellement.
Mais Sibelle avait accompli là ce pour quoi elle œuvrait depuis des années maintenant – elle ne voulait pas être simplement la fille de – elle voulait être plus, bien plus. Elle voulait tous les regards sur elle, son nom dans toutes les bouches – et alors, elle savait qu’enfin elle aurait sa liberté – et une place dans ce monde.
– Tu es magnifique, Sibelle. – Merci, Père.
Ses mots coulèrent lentement sur sa langue, sifflement d’une vipère adressé à son père, cobra royal. Elle lui adressa alors un sourire empreint de fierté, avant qu’un jeune homme de noble naissance ne vienne l’emprunter à son père pour une danse. Avant qu’on ne lui arrache sa fille qu’il remarquait enfin, Mirak lui glissa quelques mots.
– Après les festivités, j’aimerais que l’on discute de ta place au sein d’Alcantra et de notre famille, dit-il simplement.
Et jamais Sibelle ne connut pareille fierté – discuter de sa place au sein de la cité, et plus encore au sein de leur famille, cela voulait dire bien des choses. Elle n’était plus simplement sa progéniture – elle était devenue, ce soir-là, bien plus que ça.
E5 – 16, Mois 5, Semaine 2, Jour 4 Enseignement supplémentaire
Sibelle mit pied à terre, ses yeux ne pouvant quitter l’Arcaneum – ses murs étaient restés d’un blanc immaculé malgré les milliers d’années qu’il avait derrière lui, et déjà elle pouvait sentir la puissance qui émanait de l’édifice. De l’extérieur, le mystérieux bâtiment ressemblait à un simple temple, ou même à une crypte. Mais elle n’avait pas été envoyée ici pour rien.
La nuit était tombée depuis quelques heures – de toute manière, on lui avait indiqué qu’elle ne pourrait y entrer que de nuit.
Derrière elle l’attendaient une poignée de gardes au plastron marqué du griffon des Andores, ainsi que Janelle, étrangement silencieuse.
Laissant derrière elle sa monture à la robe grise, que tenait l’un de ses gardes, elle s’avança jusqu’à la grande porte, à la couleur de nuit – elle tenta d’en trouver la poignée, mais celle-ci semblait inexistante. Elle fronça les sourcils, et se remémora les paroles de son père – elle prit une longue inspiration et regarda la porte.
– J’entends tes murmures et attends tes secrets.
De longues secondes passèrent avant que l’on ouvre la porte – un homme au visage caché par une sombre capuche la regardait maintenant. Il resta silencieux pendant de longues secondes, avant de se reculer pour la laisser passer. Janelle et Sibelle purent entrer dans le temple, suivant l’homme encapuchonné sans un mot. Finalement, la jeune femme prit la parole.
– Pourquoi Père a-t-il voulu que je vienne ici ? – C’est ici que tu achèveras ton enseignement. Tu dois étudier un Culte.
Sibelle fronça les sourcils – elle tourna la tête vers sa grand-mère, une mine de dégoût accrochée à ses traits.
– Je ne crois pas aux dieux ! Et vous non plus. – Je ne te parle pas des dieux… conventionnels.
Janelle fit signe à sa petite-fille de ne plus faire un bruit tandis qu’elles traversaient le temple dédié à la religion des Anmas. Les cinq figures du dieu unique étaient alignées sur les bords d’un long corridor – au bout de l’allée, l’homme à la capuche s’arrêta face à un mur vierge et murmura quelque chose – un passage s’ouvrit, et il put s’enfoncer dans ce qui semblait être un sanctuaire caché – où d’autres hommes encapuchonnés les attendaient autour d’une table.
C’est avec hésitation que Sibelle s’assit – craignant étrangement ce qu’elle pourrait apprendre ici. A mesure que les secondes s’écoulaient, sa propre famille devenait un mystère entier à ses yeux…
E5 – 17, Mois 4, Semaine 1, Jour 2 Retour aux sources
Sibelle revenait la bague au doigt – mais sans être réellement fiancée. A son annulaire gauche, elle portait une bague en saphir noir étoilé. Le bijou n’était pas sans importance – il signifiait bien des choses. Symbole du mystère et du secret, il indiquait qu’elle avait réussi son enseignement auprès d’un des dieux interdits – elle avait été faite disciple d’Ashir, dieu des mystères et des secrets. Lorsqu’elle fut annoncée dans la Grand Salle, son père se redressa aussitôt sur son trône pour la regarder. Janelle était aux côtés de son fils, observant sa petite-fille qui revenait, plus fière et belle que jamais.
– J’ai réussi, dit-elle simplement.
Mirak eut un sourire – il ne poserait pas de question supplémentaire. Il tapota ses doigts sur l’accoudoir de son siège seigneurial, faisant claquer sa bague ornée d’une pierre d’iolite contre l’appui. Sibelle regarda son père avec curiosité.
– Le saphir noir étoilé – qu’est-ce que ça signifie ? – Le mystère, dit Janelle avec un sourire en coin.
La jeune femme hocha lentement la tête – elle avait tant appris et, en même temps, elle avait l’impression de ne rien savoir. Elle avait appris de nombreuses prières concernant Ashir, les fonctions de ce dieu ainsi que tout le savoir qu’il détenait – et elle avait dû découvrir plusieurs de ces secrets lors d’un pèlerinage. Mais maintenant qu’elle était de retour chez elle, elle ne comprenait pas où cet enseignement l’avait menée.
– Et maintenant ?, demanda-t-elle. – Maintenant, tu auras de véritables responsabilités au sein de notre famille.
E5 – 20, Mois 6, Semaine 1, Jour 3 L’espoir d’Alcantra
Sibelle avait passé les trois dernières années sur les routes – elle avait été chargée des affaires diplomatiques externes à Alcantra – ainsi, elle courait les routes, allant là où de nouvelles missions diplomatiques l’attendaient, que ce soit en Arcadia ou ailleurs – elle avait pu voir la magie de Mildril, la grandeur de Rouge-Terre et la verdure d’Halgaran. Et même si, à ses yeux, nul endroit ne pouvait rivaliser avec Arcadia, elle savait qu’elle était une femme libre.
Mais ce jour-ci était différent – voilà quelques jours qu’elle se reposait à Alcantra, son père l’ayant rappelée un temps auprès de lui : il parlait d’affaires urgentes. Sibelle obéit donc, se rendant à la capitale des Arcans pour y retrouver sa famille. Et enfin elle découvrait pourquoi elle était là.
– Tu partiras à la capitale de Nihilium dans quelques jours. La Reine a besoin d’une nouvelle dame d’atour – et tu seras parfaite dans ce rôle.
Elle, habituée aux négociations permanentes, qu’il s’agisse de traités commerciaux, de nouvelles alliances politiques ou simplement de représenter son père, n’était plus faite pour la vie de château – et elle devrait donc minauder devant les gens de la Cour pour négocier alors sa propre main ?
– Je ne souhaite pas m’y rendre, dit-elle simplement. – Sibelle – tu as dix-huit ans – et il est temps pour toi de te marier. Je ne t’envoie pas par hasard à Port-Royal, tu le sais bien.
Elle haussa les sourcils – et elle comprit alors. La Reine… Port-Royal… Le siège de la maison Torciel – le siège de la maison Royale. Elle eut un sourire en coin. Toutes les pièces du puzzle s’assemblaient alors dans son esprit.
– Moi ? – Oui, toi.
Le regard de son père était empli de détermination mais, aussi, d’une forme de fierté – c’était inestimable aux yeux de la belle. Elle inspira longuement.
– Vous pensez que je pourrais devenir Reine…, murmura-t-elle. – Je pense que tu vas le devenir.
Elle déglutit et hocha la tête – de toutes les négociations, c’était là la plus compliquée qu’elle ait à gérer. Jamais elle n’avait dû traiter du mariage d’un Andores – surtout pas avec la maison Royale. Elle se mordit un instant les lèvres – puis, collant soudain son sourire froid à ses lèvres, elle jeta un regard entendu à son père.
– Alors je serai Reine, admit-elle avec détermination.
Sibelle Andores ⌂ entre murmures et secrets, la rose se tait